Les lauréats
Photo des gagnants de la coupe du concours de chant : André PEYRON, Guy BOURGUES et Bernard CROCE.
Nous étions venus, nous étions tous là, car elle allait mourir la Mammmmmma....
Et ce fut le triomphe de nos amis avec l'interprétation très émouvante de cette chanson d'Aznavour par ce trio prometteur.
Quelques nouvelles photos de la collection de Michel Berlin trouvées au fond d'un tiroir ... La table du réfectoire est restée de 1960 à 1963 d'après la mémoire de Pierre-Jean. Mais nous étions déjà pour la plupart à la même table dès la sixième selon moi. Etaient venus se greffer en 5ème P. Blangero et E. Granon. P-L Albertini préfère s'occuper de sa tartine que de l'objectif. JL Aliaga dans le sombre esquisse un sourire. C'est Moi, M. Berlin, qui tente de prendre la photo depuis le radiateur dont je suis sur le point de tomber... d'où l'hilarité générale.
ll y a le “mariage du siècle” de Coluche et Le Luron avant l’heure. On y trouve Chaillan (Francis?) Yasmine Zouari dit Zouzou en enfants de chœur, “Petit” Bernardy (il avait un grand frère) dans le rôle du curé, Moi-même chapeauté et Etienne Granon - mon pote de Malijai- dans le rôle des mariés. Une de nos “déconnades” certes “ado” mais gentillette de l’annexe du dortoir. Autre "territoire" établi pour plusieurs années, où nous avions acheté des sacs de couchage en duvet, pour gagner du temps et garder le lit "au carré".
Puis une autre photo souvenir des “occupants” de cette annexe du dortoir des “grands” en l’année scolaire 62-63. Il y a de bas en haut et de gauche à droite .Chaillan ‘'(Francis?) Etienne Granon , Michel Berlin, Claude Chaillan , ? Merry, et Poirmeur.
A vos souvenirs pour ce qui manque!
Marie-Gabrielle joue le rôle de la mère Carrar, Yasmine dit "Zouzou" celui du fils et je joue celui de l'ouvrier républicain venu chercher les fusils pour lutter contre le fascisme des franquistes au cours de la guerre civile d'Espagne..
A l’époque j’étais loin d’avoir tout compris.... De plus, j’étais bien trop lisse et socialement inexpérimenté pour ce rôle d’ouvrier révolutionnaire qui, à mon avis de maintenant, aurait bien mieux convenu à la présence plus imposante de notre camarade Aliaga, qui plus est était réfugié Espagnol. Jean-Louis Aliaga était sans doute trop timide et humble pour oser le revendiquer à Prosper....
Il parait que Marie-Gabrielle est décédée avant sa sœur, Françoise.
Je regrette maintenant qu'elle n'est plus là, qu’à travers cette expérience enrichissante d’une année de préparation et de répétitions, nous ne nous soyons pas vraiment rencontrés . En effet, aussi timides l’un que l’autre sans doute, nous avons réussi, comme les enfants de maternelle, à jouer “à côté” sans jouer vraiment “ensemble” et sans jamais nous parler personnellement.... Un exploit quand même que de passer si près à côté des gens sans leur parler vraiment.J’essaie de me rattraper depuis. Dans cette pièce jouait aussi François Rosenfeld (un "Marseillais") dans le rôle du curé et je crois Alain Cotti et surement aussi Maurice Gastaldi. Etienne Granon quant à lui, tenait le rôle muet du fils mort. On ne voyait que son corps et bien sur il n’avait eu aucun texte à apprendre. La vie et un infarctus au Cap Corse où il habitait à presqu’une heure de l’hôpital de Bastia où il enseignait l'histoire-géo lui ont donné l’occasion vers la cinquantaine de ne plus jouer aucun autre rôle... MB
La photo de la prépa. militaire avait sans doute été découpée par mon père sur Le Provençal de mai 1963. A cette époque, souvenez-vous, la préparation militaire était nécessaire à l'obtention d'un sursis d'incorporation au service militaire obligatoire pour tous les garçons. Il y avait ensuite pour tous les "trois jours" d'examens médicaux et de tests psycho-techniques à Tarascon, en caserne. Aillaud, Burgard, Duvière, Escudier, Mirales , moi-même et quelques autres de St-Auban, nous nous étions ainsi retrouvés un dimanche au petit matin à cette épreuve de "rattrapage", soit par absence lors de la première session le week-end du 1er mai, soit par dépassement du temps limite. En effet, faute d'entrainement, beaucoup d'entre nous ont eu tellement de courbatures qu'ils étaient repérables dans le lycée à leur façon de marcher en canard les jambes raides au début de la semaine qui a suivi.
Notre ancien prof et ami Gelormini était de la partie puisqu'il est cité dans l'article.
MB
D'autre images que nous devons au regretté Roger Bonjean
Grace à ses images qui entretiennent vif le souvenir de la vie des uns et des autres au cours de ces années de jeunesse, Roger qui avait su se rendre présent à notre site par ses interventions et commentaires depuis sa retraite Bretonne, restera ainsi encore parmi nous...
Nous aurions tous plaisir à lire les commentaires de ceux qui figurent dans ce spectacle sans doute donné au foyer catholique du père Bernard...N'est-ce pas M. le Président-Cid?
Images d'époque par Yves Graillon
Nous attendons des commentaires au sujet de ces photos . Peut-être Yves lui-même se souvient-il de ceux qui apparaissent. Si vous vous reconnaissez ou en reconnaissez certains, n'hésitez pas à l'inscrire en commentaire.
Encore des souvenirs envoyés par Claude Savornin
Claude était en Sciences Ex en 1963-1964 date de ces photos. On y retrouve les élèves d'une classe de M. Guillot notre prof d'histoire géo, une suite au mariage du siècle de l'année précédente en dortoir et un souvenir des épreuves de gym au bac.
D'après Claude posent sur les photos :
Garçons:
Bonnafous Marcel (Puimichel), Bonnet Louis (le Brusquet), Chiardola Daniel (Seyne), Fournier Alain (Beauvezer), Guerrini ? , Henry Michel (Saint-André les Alpes), Hérou Marc (Digne),
Savornin Claude (Seyne)
Filles:
Carré Michèle (Digne), Combe Michèle (Digne), Giraud Françoise (garage Peugeot bd Thiers ,Digne)
......... (Puget-Théniers )
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A vos mémoire et à vos clavier pour identifier vos camarades.
Photos de Sciences Ex 64 de Michel Henry
Que de souvenirs! Comme celles de Claude Savornin, puisqu'ils étaient ensemble, ces photos, retrouvées en 2022 dans les archives de Michel Henry, datent de l'année scolaire 63-64. Les remarques, précisions , souvenirs et commentaires des uns ou des autres seront les bienvenus .
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